
Présenté par la troupe du CRET.
L'intrigue se déroule dans un cadre bourgeois, où les personnages se retrouvent rapidement pris au piège de leurs quiproquos.
L'intrigue se déroule dans un cadre bourgeois, où les personnages se retrouvent rapidement pris au piège de leurs quiproquos.
Un jeune étudiant de province vient demander hébergement à Paris afin de poursuivre ses études. Il s’adresse à M. Pacarel, un ami de son père, sur recommandation de celui-ci. Un quiproquo va rapidement s’installer entre le jeune homme et le propriétaire des lieux qui prend l’étudiant pour le ténor qu’il a acheté pour interpréter l’opéra de sa fille.
Les personnages, hauts en couleur et caricaturaux, se croisent et s'entrecroisent dans un tourbillon de tromperies, de faux-semblants et de révélations inattendues. Au fil des rebondissements, le spectateur est entraîné dans une spirale de rires et de paradoxes, où chaque situation semble se dérober à sa propre logique.
L’expression “chat en poche”, utilisée au début du XXème siècle, veut dire qu’il ne faut pas acheter un chat qui serait caché dans la poche car on ne sait pas à quoi il ressemble. Cette expression s’applique parfaitement à la situation transcrite par la pièce.
Les chanteurs de la chapelle Sixtine étaient ce que l’on appelle des castrats à la voix fine et aigue très appréciée. Pour obtenir ce résultat, on leur enlevait autrefois les glandes génitales afin que leur voix ne mue pas. Ce qui n’est heureusement plus le cas aujourd’hui.
La troupe du CRET
Acteurs : Stéphanie Saint-Amaux, Dominique Bacquet, Camille Bagur
Emmanuelle Juillet, Mathieu Ponnelle, Lorenzo Chiche, Pascal Ros, Arthur Longuet, Louis Beltrame
Mise en scène : Véronique Siffredi
Monsieur Pacarel, riche marchand, veut donner une représentation de l’opéra de sa fille Julie afin d’asseoir sa notoriété. Pour ce faire, il engage un ténor de Bordeaux et, quand celui-ci arrive, il le confond avec le fils que son ami Dufausset lui envoie en pension pour ses études de droit. Et c’est parti ! Très vite, plus personne ne comprend qui est l’autre, ni ce qui se passe, la confusion est totale…
Il n’y a pas de petits personnages chez Feydeau, il y a de grands imbéciles, à l’ambition égoïste, perdus dans une solitude de désirs inassouvis, incapables de construire une relation. Ses personnages ne sont pas des gens heureux, ils ne savent pas s’écouter et c’est leur autisme qui règle les innombrables quiproquos qui les perd. Ils aspirent tous à une idée d’épanouissement
déconnectée de leur propre réalité. Ils sont méchants, inconscients, tellement concentrés sur eux-mêmes qu’il ne leur vient jamais à l’idée que l’autre puisse entendre, se vexer ou souffrir. Une image de façade semble les protéger, et c’est grâce à ce faux-semblant qu’ils se permettent toutes les déviances. Si on les aime c’est qu’ils sont petits, excessifs et que perdus dans leurs défauts, nous nous y retrouvons malheureusement un peu aussi !
Feydeau révèle par le rire l'égoïsme et la vanité des bourgeois.
Les personnages, hauts en couleur et caricaturaux, se croisent et s'entrecroisent dans un tourbillon de tromperies, de faux-semblants et de révélations inattendues. Au fil des rebondissements, le spectateur est entraîné dans une spirale de rires et de paradoxes, où chaque situation semble se dérober à sa propre logique.
L’expression “chat en poche”, utilisée au début du XXème siècle, veut dire qu’il ne faut pas acheter un chat qui serait caché dans la poche car on ne sait pas à quoi il ressemble. Cette expression s’applique parfaitement à la situation transcrite par la pièce.
Les chanteurs de la chapelle Sixtine étaient ce que l’on appelle des castrats à la voix fine et aigue très appréciée. Pour obtenir ce résultat, on leur enlevait autrefois les glandes génitales afin que leur voix ne mue pas. Ce qui n’est heureusement plus le cas aujourd’hui.
La troupe du CRET
Acteurs : Stéphanie Saint-Amaux, Dominique Bacquet, Camille Bagur
Emmanuelle Juillet, Mathieu Ponnelle, Lorenzo Chiche, Pascal Ros, Arthur Longuet, Louis Beltrame
Mise en scène : Véronique Siffredi
Monsieur Pacarel, riche marchand, veut donner une représentation de l’opéra de sa fille Julie afin d’asseoir sa notoriété. Pour ce faire, il engage un ténor de Bordeaux et, quand celui-ci arrive, il le confond avec le fils que son ami Dufausset lui envoie en pension pour ses études de droit. Et c’est parti ! Très vite, plus personne ne comprend qui est l’autre, ni ce qui se passe, la confusion est totale…
Il n’y a pas de petits personnages chez Feydeau, il y a de grands imbéciles, à l’ambition égoïste, perdus dans une solitude de désirs inassouvis, incapables de construire une relation. Ses personnages ne sont pas des gens heureux, ils ne savent pas s’écouter et c’est leur autisme qui règle les innombrables quiproquos qui les perd. Ils aspirent tous à une idée d’épanouissement
déconnectée de leur propre réalité. Ils sont méchants, inconscients, tellement concentrés sur eux-mêmes qu’il ne leur vient jamais à l’idée que l’autre puisse entendre, se vexer ou souffrir. Une image de façade semble les protéger, et c’est grâce à ce faux-semblant qu’ils se permettent toutes les déviances. Si on les aime c’est qu’ils sont petits, excessifs et que perdus dans leurs défauts, nous nous y retrouvons malheureusement un peu aussi !
Feydeau révèle par le rire l'égoïsme et la vanité des bourgeois.
Tarifs
Tarifs
Le 10 octobre 2025
Le 10 octobre 2025
Tarif unique
10€
Horaires
Horaires
Le 10 octobre 2025
- 20:30 à 22:30