Quel est votre parcours, de l’Argentine à Menton ?
« C’est le hasard des rencontres. En 2000 j’ai l’ambition d’apprendre la cuisine française pour l’importer en Argentine. Lors d’une expérience à Paris, mon chemin croise celui d’un propriétaire mentonnais qui veut vendre son local sur la Côte d’Azur. Il prend à cœur mon projet et me laisse ma chance. À ce moment-là je ne connais rien de la Côte d’Azur. Lorsque je visite pour la première fois le Mirazur, un jacaranda trône là, un arbre de mon pays très rare ici. Les signes m’ont poussé à performer ici, j’ai pu m’y exprimer, construire ma famille et devenir Mentonnais de cœur. »